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Le Bagnol : affl. rg Savasse, dép. de la Drôme, 5,7 km. Il naît à la limite des départements de l’Isère et de la Drôme et passe à Montmiral.
* Étym. : du latin balneolum, petit bain ; occitan banh, bain.
Cf. NL Bagnols (Rhône), Bagnoles (Aude), Bagnols-sur-Cèze (Gard), Bagnols-les-Bains (Lozère), etc, communes.
Voir Bagnerot ; Baignes.
Baïn (Le Ruisseau de) : affl. rd Bez, dép. de la Drôme, 5,2 km. Né sous le col des Caux, il arrose la Combe de Baïn en longeant le sud de la montagne de Glandasse et se jette à Châtillon-en-Diois.
* Étym. : 1) occ. banh, bain, du lat. balneum, bain ;
Voir Baignes ; Bagnerot ; Bagnol.
Le Ban (autre nom du Buyèche) : affl. rd Vernaison, dép. de la Drôme, 3,4 km.
* Autres : 1) affl. Gier, dép. de la Loire ;
* Étym. : rac. hydron. ban pré-IE de sens inconnu.
Voir Buyèche ; Banne.
Le Bancel : affl. rg Rhône, dép. de la Drôme, 22,1 km. Bansel 1658, Bancellus XVIIe s. Il prend sa source dans les collines de Hauterives et coule vers l’ouest, passe à Mantaille, Albon et se jette dans le Rhône à Andancette.
* Étym. : de l’occitan bancel/banceù, bande de terre cultivée en gradin (Pégorier : Languedoc, Cévennes), mot germanique. Sans doute d’un lieu traversé comportant des cultures en terrasses.
La Barberolle : affl. rg Treuil, dép. de la Drôme, 25 km. Elle a sa source au Chaffal, traverse Bésayes, Alixan et se jette à Bourg-lès-Valence. Le Treuil est un ruisseau très court qui naît d’une fontaine au pied d’un coteau à l’est de Bourg-lès-Valence.
* Étym. : du village de Barbières (Barberia 1046) qu'elle arrose. De Barbarius, NP. (J.-C. Bouvier)
Voir Barberon.
La Barnavette : affl. rg Drôme, dép. de la Drôme, 6,5 km. Elle naît dans la montagne de la Pâle, descend vers le nord-est, arrose Barnave et se jette dans la Drôme à Jansac (com. Recoubeau-Jansac).
* Étym. : du nom de Barnave, village dont elle descend : Bernava 1227, du rad. pré-IE bar, escarpement rocheux + pré-IE nava, plateau habité ?
Le Dict. Morlet voit dans barro, escarpement, un mot gaulois et donne au préceltique nava le sens de plaine, ce qui est peu probable, ce thème désignant plutôt des endroits élevés, à tout le moins un plateau (par ex. Nave/Hlt, com. Mourèze, ou Navas/Gard).
Le Baudon : affl. Eygues, dép. des Hautes-Alpes et de la Drôme, 8,2 km. (Sandre) "Situé entre les torrents du Baudon et du Pissenton, le village originel a été emporté par des crues torrentielles à partir de 1715. Il fut abandonné en 1845". (Site du village de Sigoyer)
* Autre : affl. Rousine, dép. des Hautes-Alpes, 11,6 km.
* Étym. : P.ê. rac. baud-, boue, cf. occ. baudra, du gaulois.
Voir Baudot ; Baudou ; Boudon ; Boudou.
Le Béal : 1) affl. rg Lez, dép. de la Drôme et de Vaucluse. Il prend sa source sur la commune de Rochegude et coulant vers l’ouest se jette en amont de Bollène ;
* Autre : Le Canal du Béal à Hyères (tautologie), dép. du Var.
* Étym. : de béal, variante de l’occ. besal/bial, canal de dérivation, petit bief => petit ruisseau, du gaulois bedal, canal, bief, dérivé de bedu.
Beaufayn (Le Ruisseau de) : affl. rg Drôme, dép. de la Drôme, 3,7 km. Il descend de la Montagne de Beaufayn (1251 m), coule vers l’est, passe à Ausson où il rejoint la Drôme en face de
* Étym. : du nom de la montagne. Fayn/faïn est le terme local pour le bois de hêtres (fajan chez Alibert), du lat. fagus/fagina => Beaufayn = « belle hêtraie ».
Cf. quartier de Beaufays à La Chapelle-en-Vercors.
La Béaure : affl. rg Isère, dép. de la Drôme, env. 12 km. Bauz (Cartul. Léoncel, v. 1200) ; Beussa, ripparia de Beaurea 1533. (Dict. topogr. dép. de la Drôme, J. Brun-Durand, 1891) Elle est parfois nommée La Béouze.
Appelée Ruisseau de la Combe d’Oyans dans sa partie amont, avant Saint-Mamans, elle naît sur la commune de Rochefort-Samson, village qu’elle traverse ainsi que Papelissier en coulant uniformément vers le nord-ouest avant de se jeter dans l’Isère en amont de Pizançon.
Étym. : 1) Bauz, Beussa : de l’occ. béu/béus, abéu/abéus (masc.), canal, ruisseau, du gaul. bedu, variante féminine ; (TDF sous besau - TGF 1, E. Nègre)
Voir Béous et Béouze ; VARA ; Véore ; Ruisseau de la Combe d’Oyans.
Le Bentrix : affl. rd Eygues, dép. de la Drôme, env. 12 km. C’est un torrent qui naît dans la Montagne d’Angèle et descend vers le sud-ouest. Il passe à Saint-Ferréol-Trente-Pas puis Condorcet et se jette aux Pilles.
* Étym. : 1) ? Pas de mention de nom ancien ou d'étymologie. Un de ses affluents est le Merdrix, autre terminaison en "-ix" (= aigue ?)
La Béous : 1) affl. rg Drôme, dép. de la Drôme. Il descend du col de la Motte et coule vers le nord, passe à Jonchères, Poyols et rejoint la Drôme en aval de Luc-en-Diois. Béous 1231, Ripparia de Labeoux 1617.
* Autres : 1) La Béoux : affl. Petit Buëch, dép. des Hautes-Alpes, 17,3 km. Beous 1231.
* Étym. : variante féminine de l’occ. béu/béus, abéu/abéus (masc.), canal, ruisseau, du gaul. bedu ; ou bien mécoupure, l'Abéus comprise la Bèus ayant rendu le mot féminin. (TDF sous besau - TGF 1, E. Nègre)
Voir Abéou ; Béouze ; Beuze.
La Béouze : voir Béaure.
La Berre : affl. rg Rhône, dép. de la Drôme, 28,3 km. Aguo de Berra 1299, aqua Berre 1365. Elle prend sa source sous le col de la Croix dans le Bois de Taulignan, passe près de Salles-sous-Bois, Valaurie, Les Granges-Gontardes et se jette dans le canal de Donzère-Mondragon. Elle a le Berron comme affluent.
* Autres : fl. côtier, dép. de l’Aude, 53 km. super Berre fluvio 734, Birra fluvius 737.
* Étym. : 1) rac. celtique présente dans le gallois beru, couler, bret. beran, couler, goutter, berad, goutte, berenn (nf), liquide ; rég. bérouée, averse.
Cf. NL Berre-l’Étang/BdR, com ; Berre-des-Alpes/AM, com.
Le Berron : affl. rd Berre, dép. de la Drôme. Il coule vers le sud et se jette à Salles-sous-Bois.
* Autres : 1) affl. Mayenne, dép. de la Mayenne. Béron XIXe s.
* Étym. : Berre + suff. -on. Voir Berre.
Cf. NL Toponyme du Midi (voir Berre). S’agit-il du même : thème Bierre très fréquent en Bourgogne (4 com.) + Bière (1 com.), Beire (2 com.) ?
Voir Berronne.
Le Bez : affl. rd Drôme, dép. de la Drôme, 25,4 km. Becium, XIVe s. Il s’appelle Ruisseau ou Torrent des Gats avant son confluent avec le Ruisseau d’Archiane (Montagne de Jocou, Borne, Gorges des Gas, Mensac, Châtillon-en-Diois). J.-P. Bravard et N. Landon ont fait une étude de son système fluvial (Les ajustements du Bez, un torrent du Diois, p. 115-128 - 2014).
* Autres : 1) Le Bès : affl. Truyère, dép. de la Lozère et du Cantal, 67 km.
Cf. Le Bez/Tarn, commune (« le bouleau ») ; Le Bets/HL, hameau, même sens.
* Étym. : deux sont possibles mais pour un hydronyme le premier semble plus approprié :
Voir Bief ; Bé ; Bès ; Bèze.
La Bine : affl. rd Roubion, dép. de la Drôme, 10,5 km. Elle prend sa source près du col de la Chaudière, sous le Veyou. Jusqu’à sa confluence à Font de Bine avec le Ravin de Merdari, lequel descend du flanc sud de la Forêt de Saou, son cours supérieur est appelé Ruisseau de Roland. Elle passe ensuite à Bézaudun-sur-Bine et Bourdeaux où elle rejoint le Roubion.
* Étym. : ?
Voir Bienne.
Le Bion : affl. rg Galaure, dép. de la Drôme, 6,3 km. Il prend sa source au sud de Saint-Avit et s’écoulant vers l’ouest arrose Claveyson et se jette en aval de La Motte-de-Galaure.
* Étym. : voir Bionne.
La Bionne : affl. rd Écoutay, dép. de la Drôme, 6,5 km. Elle naît au-dessus de La Baume-Cornillane, coule vers l’ouest et conflue entre les hameaux des Dinas et des Dorelons, commune de Montmeyran.
* Autres : 1) riv. dép. du Loiret, 6 km.
* Étym. : 1) ce nom semble rappeler la déesse Belena. (L'Université catholique..., vol. 52, 1906) Beaune en serait la forme normale, souvent altérée en Bionne en Maconnais. On y rencontrerait un radical tiré de Belenus et un suffixe -onna dans le sens de source. (Annales de l'Académie de Mâcon, 1938 - L'Ethnographie : n°32 à 34, 1936)
N.B. Somme-Bionne, commune de la Marne (Sumbione 1227), à la source de la Bionne. (L'origine des NL en France : essai de toponymie, S. Gendron, 2003)
Pour le château de Byonne
Formes homonymes : le Bionnaz, lieu-dit de la com. de Chambéry (Savoie) et Combe de Bionne (Isère). (Dict. étym. des NL de la Savoie, A. Gros, J. Désormaux, 2005)
Voir Bion ; Viosne (notée
Blomard (Le Ruisseau de) : affl. rg Rhône, dép. de la Drôme, 5,2 km. Sa source est au col de Papillère dans la Forêt de Marsanne. Il passe aux Tourettes et au Logis-Neuf.
* Étym. : ?
La Boisse : affl. rd Véore, dép. de la Drôme (Charpey, Fauconnières). Ce ruisseau est aussi appelé Le Guimand (voir ce nom).
* Étym. : ?
La Bordette : affl. rg Eygues, dép. de la Drôme, 6 km. Née dans la montagne de Peitieux, elle coule vers le nord, passe sous Châteauneuf-de-Bordette (anc. villa p.ê. gallo-romaine citée dans une charte en 1023) et se jette en aval des Pilles.
* Étym. : du nom du village d'où elle descend, de l’occ. borda, métairie isolée, bergerie de montagne, remise agricole (Dict. Alibert), du gaulois borda + dim. -eta : petite ferme.
Le Bost : affl. rg Véore, dép. de la Drôme, 7,4 km. Riparia de Besco 1425, agua de Boos, Beou 1430. Il résulte de la réunion à Montvendre du Riousset et du Ruisseau de Parpaille. Vers l’aval, il fait la limite communale entre Montvendre et Chabeuil et se jette à Paillassier.
* Étym. : à rattacher à l’anc. fr. bos, "bois".
Le Boulc (ou Ruisseau de Bonneval) : affl. rg Ruisseau des Gats (ou Bez), dép. de la Drôme, 9,8 km. Sa source est à la Montagne Chauvet, il passe à Bonneval puis Boulc.
* Étym. : du nom du village (Bulcum 1200, Bolc 1206), d’un rad. préceltique *bol, hauteur (?) + suff. de NL -icum. (J.-C. Bouvier)
Cf. NL Bolquère/PO au col de la Perche.
P.ê. même rad *bol- dans NR Boulès/PO. Pour la Bouleure/Vien. et NL Bouloire/Sart. (Bolodro VIIe s., Boloria 1039), on partira de *bol- + suff. -or(i)a. (Tôzai, n° 7/2002, n°7) Peu crédible.
La Bourne : affl. rg Isère, dép. de l'Isère et de la Drôme dont il fait la limite, 43 km. Borna 1107. Elle conflue peu après Saint-Nazaire-en-Royans. La Bourne, qui coule dans des gorges impressionnantes a pour affluent rg le Bournillon/Is. dont une résurgence sort d’une grotte.
* Autres : 1) La Borne : affl. Loire, dép. de la Haute-Loire, 48 km. Borna XIIe s. ;
* Étym. : de l’occ. et franco-prov. bòrna, cavité dans le rocher => trou de source => source, torrent qui en sort ; du gaulois borna, trou, cavité naturelle ; rac. préceltique. (Alibert)
La Bouterne : affl. rg Rhône, dép. de la Drôme, 6 km. Baluterna 947. Elle prend sa source au nord de Chantemerle-les-Blés, passe à Mercurol et se jette au sud de Tain-l’Hermitage. Elle fait suite à la Rotte.
* Étym. : ?
Boutifarde (Le Ruisseau de) : affl. rd Brette, dép. de la Drôme, 1,5 km. Il coule vers l’ouest, entièrement sur la commune de Brette.
* Étym. : botifarda dans un texte esp. de Lope de Rueda (XVIe s.), mais impossible d'en trouver une traduction.
Le Bramefaim : affl. rd Vermenon (> Jabron), dép. de la Drôme, 6,6 km. Il coule vers l’ouest et
se jette sur la commune de La Bégude-de-Mazenc.
* Étym. : de l’occ. bramafam, cri(er) de faim (Dict. X. de Fourvières), de bramar, mugir, crier, mot germ. (FEW) + fam, faim, du lat. fames.
Brandins (Le Ruisseau des) : affl. rg Drôme, dép. de la Drôme, env. 3,8 km. Il coule vers le nord sur la commune d’Aubenasson en aval de Saillans.
* Étym. : sans doute dim. de brande, végétation de lande (bruyère, genêts, ajoncs) correspondant à une zone de culture abandonnée depuis longtemps.
La Brette : affl. rd Roanne, dép. de la Drôme, 7,8 km. Elle prend sa source à l’est de Saint-Nazaire-le-Désert (Wikip.), coule vers le nord, passe à Brette et se jette dans la Roanne en aval d’Aucelon. Elle a pour princ. affluents le (Ruisseau de) Volvent et le Ruisseau de Boutifarde. (Wikip.)
* Autre : affl. Lys, dép. du Pas-de-Calais, 7 km.
* Étym. : du nom de la commune de Brette (ou le contraire ?), réunion de deux hameaux (Breta 1168), du gaul. Britta, Bretonne (nom de femme) ?
Cf. NL Brette, com. Drôme et plusieurs lieux-dits (Drôme, Sarthe, Corrèze, Rhône). (Wikip. homon. "Brette")
Brezès (Le Ruisseau de) : affl. rg Drôme, dép. de la Drôme, 5,3 km. Il descend de la Montagne de Tarsimoure, coule vers l’est et traverse le hameau de Brezès sur la commune de Valdrôme.
* Autres : 1) La Brèze : affl. Jonte, dép. de la Lozère et du Gard, 15,1 km.
* Étym. : 1) déverbal de l’occ. bresar, briser, mettre en miettes, cf. occ. brisal, fragment, brensa, menue branche, etc ; du gaulois bri(n)sar, briser.
Voir Brézentine ; Brezons ; Brizotte.
Brudour (Le Ruisseau du) : ruis., dép. de la Drôme, 3,5 km. Ce ruisseau intermittent sort de la Grotte du Brudour, en Forêt de Lente (Vercors), et coule vers le nord. Il passe à Lente et se perd sous la Glacière de Pra Courrier (scialet).
* Autre : 1) Le Brudour : affl. Drac, dép. des Hautes-Alpes, 6 km.
* Étym. : de l’occitan bruda, rumeur, onomatopée désignant un torrent bruyant.
Cf. Brudour, hameau d’Aspres-lès-Corps (Hautes-Alpes) ; Font-Brude à Saint-Firmin (Hautes-Alpes).
Le Buëch : affl. rd Durance, dép. de la Drôme, des Hautes-Alpes et des Alpes-de-Haute-Provence, 85 km. Bochium < "a ponte Buchii" 1202, Biochium 1242, Pons de Buech 1256, ultra Bodium (Trabuëch) 1260, ultra Buech (id.) 1304.
Il prend sa source à la limite des deux départements sur la commune de Lus-la-Croix-Haute (La Jarjatte, Trabuëch) puis passe dans les Hautes-Alpes et se jette dans la Durance.
Sa vallée, la région du Buëch s’appelle le Bochaine (Biochana 1135).
* Autres : 1) Le Petit Buëch : affl. Buëch, dép. des Hautes-Alpes, 44,5 km.
* Étym. : 1) prob. du gaulois budica, terrain conquis sur la forêt, friche => anc. fr. boudic/bouzic. Thèse appuyée par l'accent gaulois sur la 1re syllabe : « budcha » => « buech » ;
Cf. NL La Teste de Buch (Gironde), "…Testa in Bogio" XIVe s. où Bogium désigne le "pays des Boii" (Bassin d’Arcachon) > buech/buch. (TGF, vol. 1, E. Nègre)
Autre NL Boëge/HSav., commune (Buegium 1278), 1) p.ê. du gaul. *bodios qui aurait d'abord désigné la Menoge ; 2) du lat. *Bovegium, parc à bovins, par perte du "v "remplacé par un tréma comme habituellement. (Wikip., Boëge) – Boëge/Sav., l.d. com. La Ravoire sur la Leysse (Bueygio 1277), où *bodios aurait initialement désigné la riv. (TGF, vol. 1, E. Nègre)
Voir Buyèche ; Buèges.
La Burge : affl. rg Bouterne, dép. de la Drôme, 5 km. Elle passe au nord de Mercurol et se jette à l’est de Tain-l’Hermitage.
* Autre : affl. Allier, dép. de l’Allier, 29,3 km.
* Étym. : du gaulois *borbiacum, lieu boueux ? En Suisse romande, Bourgues, Bourgat, Burgoz signifient « bourbier, endroit boueux ».
Le Buyèche : affl. rd Vernaison, dép. de la Drôme, 3,4 km. Parfois dit Le Ban, il prend sa source au-dessus du village de Saint-Martin-en-Vercors. Fin mai 2012, sa crue soudaine a provoqué d’importants dégâts dans la commune.
* Étym. : voir Buëch.
Voir Buëch ; Buèges.